Monsieur Zhang dirige une petite usine de composants électroniques. Récemment, il a reçu une commande de l’étranger, mais n’a pas pu effectuer le dédouanement lui-même, il a donc dû payer des frais d’agence élevés. Les ventes de la boutique de commerce électronique transfrontalier de Madame Li sont en plein essor, mais en raison du manque de qualifications d’importation et d’exportation, elle a été obligée de renoncer à des commandes en gros importantes…Le droit d’importer et d’exporter, cette qualification apparemment lointaine, pourrait être le seuil invisible de la croissance de votre entreprise.

Pourquoi avez-vous besoin du droit d’importer et d’exporter ?
Avoir le droit d’importer et d’exporter signifie que les entreprises peuvent commercer directement avec des clients étrangers sans passer par un agent tiers. Selon les études sectorielles, le dédouanement autonome peut réduire les coûts logistiques de 15% à 30%, tout en bénéficiant d’avantages politiques tels que le remboursement de la TVA. Plus important encore, cela donne à l’entreprise une "carte d’entrée" sur le marché international, passant d’une réception passive de commandes à une prospection active du marché mondial.
- Avantages en termes de coûts : économie sur les frais d’agence, accélération de l’efficacité du dédouanement
- Attestation de qualification : amélioration de la crédibilité internationale de l’entreprise
- Avantages politiques : bénéfice des allégements fiscaux tels que le remboursement de l’exportation
Analyse complète du processus d’obtention (basée sur l’expérience de Zhongmaoda)
L’obtention du droit d’importer et d’exporter nécessite quatre étapes : "Enregistrement commercial - Douanes - Devises étrangères - Port électronique" :

- Modification de l’enregistrement commercial : ajout de la portée commerciale "importation et exportation de biens"
- Dépôt auprès des douanes : obtention du code de l’expéditeur et du destinataire des douanes
- Enregistrement des devises étrangères : activation des autorisations de réception et de paiement en devises étrangères
- Carte de port électronique : obtention d’une carte à puce dédiée au dédouanement
Ne tombez pas dans ces pièges !
Au cours de nos services, nous avons constaté que 90% des clients tombent dans trois idées fausses :
- Penser que seules les "sociétés de commerce extérieur" ont besoin de qualifications (les entreprises de production en ont également besoin)
- Ignorer l’obligation de rapport annuel de l’administration des changes
- Ne pas mettre à jour la carte du port électronique à temps, entraînant des retards de dédouanement
Rappel spécial : les entreprises de commerce électronique transfrontalier doivent également obtenir séparément un enregistrement d’entreprise de commerce électronique transfrontalier.
Agissez maintenant, saisissez l’initiative
Avec la consolidation d’accords internationaux tels que le RCEP, le droit d’importer et d’exporter passe d’un "facteur additionnel" à une "exigence obligatoire". Au lieu de vous précipiter lorsque les commandes arrivent, il est préférable de commencer à vous préparer dès maintenant. Zhongmaoda recommande :
- Les micro et petites entreprises peuvent obtenir des qualifications de base en premier
- Les entreprises en croissance sont encouragées à demander simultanément la certification AEO
- Participer régulièrement à des formations sur les politiques douanières
Votre entreprise est-elle prête à embrasser le marché mondial ? N’hésitez pas à partager vos expériences de commerce extérieur dans la section des commentaires, ou à nous envoyer un message privé pour obtenir une solution personnalisée.

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